"Donnez leur des jeux et du vin"

Depuis la nuit des temps, l'histoire se répète (et ne s'améliore pas).
L'amnésie semble totale.

Pour contrôler le troupeau de vaches (à lait) et le pomper sans faire tourner...... le lait, on offre sans compter l'abrutissement généralisé-programmé en faisant miroiter des paradis artificiels, qui ne rapporte qu'à l'E-T-A-----T

Jeux multiples "fric (improbable)-à-la-clef" émissions TV à effets de serres catastrophiques et obligatoires (par absence de choix) entrecoupées de faits divers à la pelle pour faire diversion, émissions sportives à volonté pour exulter (le "trop" d'énergie du, au "pas assez" d'autres passionnantes raisons de vivre) et pour mal digérer : séries françaises pires que les américaines : flingues, fric, coK. et sexe qui enflamment la paranoïa civile, finissent de lessiver l'imaginaire et déglinguent un peu plus la libido des individus frustrés

De 3 à 90 ans, on joue à des jeux, on joue LE jeu imposé par les médias, les monopoles d'État et les grands manipulateurs de la money-money :

La "française des jeux" http://www.linternaute.com/actualite/argent/06/loto/en-chiffre.shtmloto/en-chiffre.shtml s'en fout plein les poches en toute légalité en vidant celles des plus démunis.

Pas 1 "sportif" qui joue pour le fun. Les stades deviennent des ghettos avec tout l'attirail, cernés par la flicaille qui a pour mission première de "faire du chiffre"....Etc....

L'état veut tout contrôler (c'est dire son inquiétude ) : sur le web, à la TV, dans les magazines, sur les ondes, sur les routes, dans les tribunaux, dans les écoles.....

Il encourage ET rémunère à nouveau la délation, il encourage et légalise tous les jeux, il enrôle des milices dans les lycées, dans les stades, dans les quartiers.

Hypocrite il taxe les clopes, l'alcool mais pas les fabricants ni leur pub....

Si les pétards, la coK. étaient sous son contrôle, lui rapportant de gros sous-sous, on les verrait dans les rayons des supermarchés (entre liqueurs et produits bio ?!)

Le 21 siècle semble dangereusement tendre vers le bas aspiré sans doute par son propre vide.